De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Allergisantes, urticantes, elles sont dangereuses pour vos compagnons à quatre pattes comme pour vous. L’alerte aux chenilles processionnaires a été donnée dans de nombreuses communes de France ces dernières semaines et de plus en plus de départements semblent concernés. Les autorités appellent à la vigilance lorsqu’on les croise, mais comment les reconnaître à coup sûr ? Qu’est-ce qui permet de ne pas les confondre avec les autres espèces ?
Chenilles processionnaires : deux types distincts
Il existe deux types de chenilles processionnaires. La première, dite du pin, vit exclusivement dans les pins et quitte son nid au printemps, pour aller s’enterrer dans le sol afin de devenir chrysalide. C’est à ce moment-là, lors de la procession, que vous pouvez donc les croiser au sol. Attention à ne pas trop vous en approcher et à éloigner votre chien pour ne pas qu’il les touche. Il est bien sûr hors de question pour vous de les attraper à main nue, contentez-vous de passer votre chemin. La chenille du pin se reconnaît facilement grâce à sa couleur orangée, bardée de noir. Elle possède aussi de longs poils gris clairs, qui lui donnent cette impression duveteuse et sa tête est entièrement noire.
Le second type de chenille processionnaire, dite du chêne, s’observe bien plus tard que la précédente, puisqu’elle est visible entre le mois de mai et le mois de juillet. Processionnaire comme la chenille du pin, elle ne s’observe que très rarement seule et peut être reconnue par sa couleur noire sur la face dorsale et grise sur les côtés. Elle a aussi de longs poils blancs et un aspect duveteux, ainsi qu’une tête toute noire.