Paul G., 31 ans est accusé d’avoir violé Gisèle Pelicot en 2016. Il a reconnu les faits dans leur totalité ce vendredi 8 novembre, avant de faire part à la cour de son souhait de devenir pasteur.
Propriétaires d’un smartphone Android, prenez garde ! Un périlleux cheval de Troie fait son grand retour. Depuis d’un an, le virus nommé Anubis se faufile sur le PlayStore de Google par le biais de diverses applications jugées inoffensives, pour tenter de vous dépouiller.
Virus mobile : des centaines d’applications touchées
Découvert pour la première fois en 2018, le virus contamine désormais 188 applications bancaires. Il est par ailleurs actif dans plusieurs pays dont les États-Unis, en France, en Allemagne, en Italie, en Pologne, mais aussi en Inde.
Les chercheurs de TrendMicro l’ont, effectivement, repéré dans divers logiciels, rapporte le site spécialisé Univers Freebox. Son objectif ? Infecter de plus en plus d’utilisateurs.
Afin d’éviter tout soupçon, le malware se camoufle dans les applications pendant des mois, avant de s’activer sur votre mobile ou tablette. Une fois en route, il collecte diverses données de votre appareil : géolocalisation, numéro IMEI, modèle, etc., dans le but de se conformer à la zone géographique de la victime et aux protocoles de sécurité des banques locales.
Virus mobile : vos mots de passe revendus sur la Toile
Une fois ces informations obtenues, il parvient à récolter vos SMS, mais effectue également des captures d’écran pour récupérer vos mots de passe de comptes Ebay, Paypal, Netflix ou encore Facebook. Les pirates se cachant derrière ce malware tente ensuite de les revendre sur le Web.
Pis, Anubis, est également capable d’afficher de fausses pages afin de subtiliser vos codes d’accès bancaires. Ces données sont ultérieurement transmises vers des serveurs tiers permettant à des hackers de vider votre compte.