
Jordan Bardella, président du RN depuis novembre 2022, a affirmé au Parisien sa disponibilité à représenter le parti à l'Élysée si Marine Le Pen est condamnée en appel à l'été 2026.
La guerre est déclarée. Après l'annonce récurrente d'essais nucléaires et de menaces par la Corée du Nord, les autorités sud-coréennes ont décidé de contre-attaquer. Et le plan est clair : éliminer physiquement le leader Kim Jong-un.
"Selon le ministre de la Défense sud-coréen cité par la chaîne américaine CNN, la Corée du Sud disposerait en effet de troupes d'élites se tenant prêtes à éliminer physiquement le leader nord-coréen si ce dernier ne renonçait pas à ses velléités nucléaires", rapporte LeFigaro.fr vendredi. On n'en sait toutefois pas plus sur les moyens mis en œuvre pour mener à bien cette mission.
Ces menaces dissuaderont-elles Kim Jong-un de continuer ses projets ? Pas si sûr. Ce dernier a mené début septembre un cinquième essai nucléaire. "Un des missiles tirés de Corée du Nord a notamment pénétré dans la zone économique exclusive au large du Japon. Ces tests, qui violent les résolutions de l'ONU, ont été dénoncés par la communauté internationale", précise le site d'information.
Après ce nouvel essai, le plus puissant jusqu'à présent, la communauté internationale a en effet déclaré envisager des sanctions contre la Corée du Nord. Probablement moins radicales que le projet sud-coréen.