La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Le pacu avait déjà semé la panique dans les eaux suédoises il y a quelques semaines. Un de ces poissons avait en effet été découvert dans les eaux du détroit de l’Oresun, entre la Suède et le Danemark. Les autorités avaient alors mis en garde les habitants et conseillé aux naturistes de garder leur maillot. Il semblerait toutefois, pour les spécialistes, que la réputation du pacu soit tout de même un peu exagérée. Si des cas de « castration » ont été recensés en Papouasie-Nouvelle Guinée, ce serait anecdotique. Le pacu se nourrit en effet essentiellement de fruits, d’insectes ou de petits mollusques. Si le pacu possède bien une mâchoire qui lui permet de casser des noix, il ne serait en revanche pas un grand prédateur. « Mais en Papouasie-Nouvelle Guinée, ils n'ont pas trouvé leur nourriture de base, donc ils s'en sont pris à quelque chose qui la leur rappelait » avait expliqué en juillet dernier Jeremy Wade, un biologiste américain, dans l’émission Animal Planet sur la chaine Discovery Channel.
Il peut mesurer jusqu’à 90 cm et peser 25 kg. Le pacu, ce poisson originaire d’Amazonie, de la famille des piranhas, a très mauvaise réputation. Il aurait en effet la fâcheuse habitude de manger les testicules des baigneurs qui se trouvent à proximité. Vendredi dernier, un pêcheur à la ligne a sorti de la Seine un de ces inquiétants spécimens aquatiques. L’homme a aussitôt contacté la brigade fluviale de Paris.« Les policiers plongeurs ne peuvent que reconnaître l'évidence ! »Le pacu fait partie de ces « nouveaux animaux de compagnie » qui deviennent souvent vite encombrants, et aurait vraisemblablement été jeté dans le fleuve par ses propriétaires. La police a en tout cas confirmé qu’il s’agissait bien d’un pacu. « Quelque peu sceptique mais toujours à l'écoute et intéressé, le policier lui demande s'il peut envoyer une photo du spécimen voire l'apporter à la brigade fluviale. Le pêcheur s'exécute et les policiers plongeurs ne peuvent que reconnaître l'évidence ! » note ainsi la préfecture de Paris dans son rapport hebdomadaire. Un poisson castrateur ?