Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Pour sa compagne, dont l’identité est restée secrète, Steven Lock, 43 ans, a dépassé les bornes lors d’une relation sexuelle particulièrement brusque en août 2012. Fouettée à quatorze reprises et en larmes après avoir criée, elle affirme avoir souffert par la suite d’ecchymoses sur les fesses et le cou.
Sur la corde raide, l’accusé a reconnu les faits mais il a tenu à rappeler qu’outre l’absence de lésions corporelles en ayant résulté, l’échange s’était tenu dans le cadre des règles qu’ils s’étaient fixés d’un commun accord. En cas de malaise le mot « rouge » devait être prononcé, un code qui devait mettre fin immédiatement au jeu sexuel.
Sa compagne a d’ailleurs confirmé. « Je savais que ça allait être douloureux et je savais que je n'allais pas aimer, ça mais j'ai accepté de le faire et je devais le faire jusqu'au bout » a-t-elle déclaré. Une histoire qui n’est pas sans rappeler des scènes du roman à succès d’E.L. James Cinquante nuances de Grey. L’accusé a facilement reconnu la chose : « c'est là que l'on a trouvé l'idée ». Quand la réalité côtoie la fiction les choses peuvent mal tourner. Steven Lock peut néanmoins rester philosophe, il a été reconnu non-coupable.