Comme chaque année, pompiers et facteurs frappent aux portes pour vendre leurs traditionnels calendriers. Ces petits gestes, à première vue anodins, s’inscrivent dans une longue tradition de solidarité et de...
Pour sa compagne, dont l’identité est restée secrète, Steven Lock, 43 ans, a dépassé les bornes lors d’une relation sexuelle particulièrement brusque en août 2012. Fouettée à quatorze reprises et en larmes après avoir criée, elle affirme avoir souffert par la suite d’ecchymoses sur les fesses et le cou.
Sur la corde raide, l’accusé a reconnu les faits mais il a tenu à rappeler qu’outre l’absence de lésions corporelles en ayant résulté, l’échange s’était tenu dans le cadre des règles qu’ils s’étaient fixés d’un commun accord. En cas de malaise le mot « rouge » devait être prononcé, un code qui devait mettre fin immédiatement au jeu sexuel.
Sa compagne a d’ailleurs confirmé. « Je savais que ça allait être douloureux et je savais que je n'allais pas aimer, ça mais j'ai accepté de le faire et je devais le faire jusqu'au bout » a-t-elle déclaré. Une histoire qui n’est pas sans rappeler des scènes du roman à succès d’E.L. James Cinquante nuances de Grey. L’accusé a facilement reconnu la chose : « c'est là que l'on a trouvé l'idée ». Quand la réalité côtoie la fiction les choses peuvent mal tourner. Steven Lock peut néanmoins rester philosophe, il a été reconnu non-coupable.