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Examen contradictoire, contrôle sur pièces… Si ces termes techniques vous effraient, c’est que vous avez probablement déjà fait l’objet d’un contrôle fiscal. Dans le cas contraire, vous êtes sans doute assez bien renseigné(e) sur la question. Pour autant, il importe de rappeler que n’importe qui peut effectivement faire l’objet d’une telle procédure et que cette dernière peut se dérouler de multiples façons, selon la manière dont le contribuable concerné décide d'appréhender le problème soulevé par les autorités compétentes.
Pour ne pas être pris(e) au dépourvu, il incombe donc de bien connaître les démarches associées et les étapes importantes. Découvrez, dans notre diaporama en fin d’article, l’ensemble des scénarios possibles et l’intégralité des outils dont bénéficie l’administration en cas de contrôle.
Administration fiscale : comment décide-t-elle de qui sera contrôlé ?
D’une façon générale, explique la banque en ligne Boursorama sur son site d’information, les contrôles fiscaux reposent sur une “politique de sélectivité". Cela signifie que l’administration se concentre sur certains foyers fiscaux, dont les revenus annuels sont suffisamment importants pour qu’une telle procédure puisse rapporter de l’argent.
Dès lors, sont essentiellement contrôlés les ménages percevant plus de 250 000 euros à l’année et dont le patrimoine est équivalent ou supérieur à 1,3 millions d’euros. Ils sont d’ailleurs contrôlés régulièrement : au moins une fois tous les trois ans. Le recours excessif à des dispositifs de défiscalisation peut aussi déclencher un contrôle, poursuit la banque.