La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
La prolongation de l’état d’urgence en France depuis les attentats du 13 novembre dernier s’accompagnent de possibles mesures à mettre en place pour encore plus de sécurité. Parmi les idées, on retrouve notamment celle d’interdire les connexions Wi-Fi libres et partagées, à en croire une information du journal Le Monde.
Le quotidien, qui a eu accès à des notes de la direction des libertés publiques et des affaires juridiques (DLPAJ), qui dépend du ministère de l’Intérieur, révèle en effet samedi que cette interdiction serait ainsi accompagnée de contraintes pénales pour les internautes ne respectant pas la mesure.
Difficile d’identifier les internautes connectés
"Jusqu’à présent la loi impose par principe aux abonnés à Internet de sécuriser leur connexion pour éviter qu’elle soit utilisée à des fins illicites, mais le seul risque que prennent les abonnés généreux et récalcitrants qui laissent leur Wi-Fi ouvert est de recevoir un avertissement Hadopi si quelqu’un l’utilise pour pirater des films ou de la musique", rappelle le site spécialisé Numerama.com.
Cette interdiction du Wi-Fi public s’explique par les difficultés que peuvent connaître les autorités pour identifier les internautes connectés sur ces réseaux Internet libres d'accès.
En vidéo sur le même thème - Avion : vers une démocratisation du Wi-Fi à bord en Europe