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Un surnom qui lui va comme un gant. Jean-Pierre R., également surnommé le « vampire de Nanterre », a été retrouvé dans la matinée du 25 mai près d’un hôtel du 18ᵉ arrondissement de Paris, après s’être échappé de son unité psychiatrique, au moment de la prise de médicaments, le 6 mai dernier. La fiche de signalement de l’établissement émise suite à sa disparition précisait notamment le risque de comportement agressif de Jean-Pierre R. à son endroit ou à l’encontre d’autrui. Suite à son interpellation, il a été replacé en psychiatrie.
Dans les années 2000, Jean-Pierre R. a défrayé la chronique après avoir tué à coups de couteau un jeune homme de 20 ans, près de la gare de Nanterre. Le meurtre avait été particulièrement sanglant. Selon des témoins présents sur place, Jean-Pierre R. avait littéralement massacré sa victime, lui bondissant dessus avant de lui asséner plusieurs coups de couteau au visage. Ensuite, les témoins de la scène avaient affirmé l’avoir vu se pencher sur le corps de sa victime pour boire son sang. Un acte particulièrement choquant qui lui a valu d’être surnommé le « vampire de Nanterre ».
Le « vampire de Nanterre » a été déclaré irresponsable d’un point de vue pénal
À l’époque, le schizophrène a affirmé aux enquêteurs qu’il cherchait un endroit où enterrer son chat lorsqu’il a croisé sa future victime. « Il avait du sang sur les mains, il a hurlé. Je suis tombé et il m’a frappé », avait-il notamment raconté. Plusieurs experts en psychiatrie ont toutefois rapidement conclu à l’abolition de son discernement. Jean-Pierre R., qui souffre de schizophrénie, a été déclaré irresponsable d’un point de vue pénal et placé en unité psychiatrique.
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