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Lucie, la servante torturée

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Lucie, la servante torturée

Depuis le XVIe siècle, le château de Veauce, dans l’Allier, serait hanté par Lucie, une servante torturée entre ses murs et décédée dans des conditions atroces, victime de la jalousie de la femme du seigneur des lieux.

L’épouse emmurée de Puymartin

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L’épouse emmurée de Puymartin

Dans le Périgord, l’impressionnante forteresse de Puymartin abrite, selon la légende, une « Dame blanche » particulièrement troublante.

Au XVIe siècle, le châtelain Jean de Saint Clar aurait surpris son épouse, Thérèse, dans les bras d’un jeune seigneur en rentrant d’un combat. Fou de rage, il l’enferma dans la tour du château, où elle décédera, 15 ans plus tard, après avoir tout essayé pour se racheter auprès de son époux. On dit qu’elle aurait même été emmurée sur place.

Son fantôme hanterait les couloirs à la nuit tombée. L’ancien propriétaire des lieux, Henri De Montbron, assure l’avoir croisé à plusieurs reprises. « Il a eu du mal à s’en remettre », confiait son fils Xavier à Détours en France.

La duchesse enfermée

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La duchesse enfermée

Dans le château de Brissac, au cœur de l’Anjou, c’est le fantôme de Charlotte de Valois, son ancienne locataire, qui, selon la légende, parcourt les couloirs les soirs d’orage.

Son histoire est terrible : Charlotte de Valois, fille illégitime du roi Charles de France, s’est installée à Brissac après son mariage avec le comte Jacques de Brézé. Mais dans la nuit du 31 mai au 1er juin 1477, ce dernier la surprend au lit avec l’un de ses écuyers. Il la pourfend avec sa propre épée.

La dame hanterait, depuis, la tour de la chapelle de l’imposant château.

Le chat de Combourg

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A Combourg, en Ille-et-Vilaine, dans le château de l’écrivain Châteaubriand, errerait l’esprit d’un chat. Mais pas n’importe lequel : celui du Comte Malo de Coëtquen. Le noble, mort en 1727, hanterait lui-même le château depuis, aux côté de son félin noir.

A l’époque, on emmurait les chats noirs, justement, pour conjurer le mauvais sort. Après la Révolution, lorsqu’il procède à la remise en état du château de Combourg, le petit-neveu de Châteaubriand découvre, presque intacte entre les murs, la dépouille du pauvre animal, décédé dans d’atroces souffrances, la gueule ouverte. Depuis, le cadavre a été momifié.

« Certains de mes amis ou des amis de mon fils ont passé ici des nuits épouvantables. L’un d’eux, par exemple, sentit un jour quelqu’un secouer son lit. Mais lorsqu’il alluma la lumière, il ne vit personne. » confie même à Géo la comtesse Sonia de la Tour du Pin, l’actuelle propriétaire des lieux.

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