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Publié par Eléonore Bounhiol
Le 6 avril 1976, à Bruay-en-Artois, dans le Pas-de-Calais, le corps mutilé de Brigitte Dewèvre, une fille d’ouvriers 15 ans, est découvert par des enfants dans un terrain vague.
La jeune fille a été étranglée et blessée à la tête par un objet coupant.
Les soupçons se tournent d’abord vers Pierre Leroy, un riche notaire de la commune dont la voiture aurait été aperçue près des lieux du drame. Il est inculpé, mais faute de preuves, la piste est abandonnée.
Le crime est finalement prescrit en 2004.
Récemment, Daniel Bourdon, un ancien policier de la région, a pourtant assuré qu’il avait identifié le tueur de Brigitte, au gré de ses recherches personnelles. Une octogénaire vivant dans le Sud de la France lui aurait en effet que son ancien mari qui était facteur à Bruay lui avait avoué le meurtre de l’adolescente à l’époque.Ils avaient alors quitté précipitamment la région. Mais pour l’instant, aucune nouvelle enquête n’a été ordonné par la justice.
Le 31 octobre 1988, Gilles Naudet et Anne-Sophie Vandamme, un jeune couple de 25 ans, et leur chien Dundee disparaissent alors qu’ils étaient partis se balader dans la vaste forêt de Fontainebleau, en région parisienne.
Ce n’est que deux mois plus tard, le 10 janvier 1989, que leurs corps seront retrouvés sans vie, dissimulés sous des branchages.
Ils ont été abattus de plusieurs balles, provenant de deux armes distinctes. Mais surtout, l’état de leurs dépouilles, peu endommagées, interroge. Selon les enquêteurs, le corps des deux amis et le cadavre du chien auraient pu été conservés ailleurs pendant des semaines, avant d’être finalement déposés dans la forêt, quelques jours avant leur découverte.
En 1999, les gendarmes reçoivent un curieux appel qui les pousse à suspecter trois braconniers, dont un jeune homme de 27 ans, qui était mineur au moment du double meurtre. Interpellé, ce dernier avoue le crime. Mais il se rétracte peu de temps après, et bénéficie d’un acquittement de la justice en 2001. Il n’y a pas assez de preuves.
L’affaire est finalement prescrite en 2011, sans que l’on ne sache ce qui est vraiment arrivé au jeune couple, et tandis que leur meurtrier court probablement toujours dans la nature.
Elle a attendu la prescription pour avouer à la France entière qu’elle avait tué son fils.
En 1987, Anne Ratier a donné la mort à Frédéric, son fils de 3 ans, tétraplégique et lourdement handicapé. Elle lui administre une dose conséquente de neuroleptiques, ce qui provoque un coma de trois jours. Frédéric finit par décéder le 2 novembre. A l’époque, les médecins concluent sans plus d’investigations à une mort naturelle.
En mars 2019, trente-deux ans après cet assassinat, Anne Ratier publie un livre : « J’ai offert la mort à mon fils », et s’exprime dans les médias sur son geste.
Son histoire ne tarde pas à provoquer un véritable tollé. Peu de temps après, la justice réfléchit alors l’ouverture d’une information judiciaire pour « meurtre avec préméditation sur mineur vulnérable de moins de 15 ans ».
Mais à ce jour, aucune action n’a été ordonnée.
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