Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Vous n’aurez – en théorie, au moins – pas besoin de plus de 17 jours. Une fois posés, ces congés vous ouvriront alors le droit à plus d’un mois de repos, indique Ouest France. Après plus d’un an et demi à prendre sur soi à cause de la pandémie, les plus judicieux des employés pourraient donc profiter d’une véritable année gruyère ! À condition, bien sûr, d’apprendre comment optimiser ses vacances…
Au total, écrivent nos confrères, les plus chanceux – ou, tout simplement, les premiers arrivés – profiteront de 46 jours d’arrêt de travail. Pour les autres, tout dépendra de divers facteurs, parmi lesquels la façon dont ils ou elles auront su placer leurs jours mais aussi leur éventuelle capacité à négocier avec leur direction. Dans certains cas, il faudra peut-être convaincre vos supérieurs ou les services de ressources humaines !
Congés : quelles sont les 17 dates qu’il faut poser pour ne pas travailler pendant 46 jours ?
Sans grande surprise, il va falloir capitaliser sur les ponts et les jours fériés pour parvenir à un tel résultat. Certains des incontournables ne seront cependant pas très utiles : le jour de l’an, par exemple, tombe un samedi. Il en va presque de même pour la fête du travail, qui a toujours lieu le 1er mai et qui tombera un dimanche en 2022. Dès lors, il va falloir ruser un peu ! Pensez donc à vous positionner vite dès le début de l’année, puisqu’il faudra privilégier le mois de janvier et celui de mai.
Après les fêtes de fin d’année, il suffit de poser cinq jours pour en obtenir neuf au total. Vous pouvez aussi réserver votre vendredi 15 avril pour un week-end de quatre jours en profitant du lundi de Pâques. Par la suite, poser la semaine du 2 au 6 mai permettra de gagner neuf jours au total ! Puis, pensez à interroger votre employeur au sujet du pont de l’Ascension. Cette dernière ayant lieu le jeudi 26 mai, vous pourriez peut-être obtenir un jour gratuit. C’est selon le mode de fonctionnement de la société dans laquelle vous travaillez…
Plus tard, en juin, pensez à prolonger votre week-end de Pentecôte en posant le vendredi 3. N’oubliez pas, ensuite, le pont du 14 juillet qui tombera un jeudi, de sorte à gagner quatre autres jours. Il vous reste alors trois échéances : le pont de l’Assomption du lundi 15 août, celui de la Toussaint du mardi 1er novembre et l’armistice du vendredi 11 novembre.