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Quant à son adversaire numéro un, François Hollande, celui-ci ne lui inspire pas plus d'inquiétudes a priori : " Il a tiré toutes ses cartouches, sa déclaration de candidature, son premier meeting, son projet, sa grande émission. Qu'est-ce qui lui reste ? Pouf, il se prend de la farine sur la tête ! "
Déclaration à la présidentielle
"Je ne vous dirai rien ! Je serai très secret, parce qu'il faut que je surprenne " aurait annoncé d'emblée Nicolas Sarkozy à ses troupes. Selon lesquelles sa déclaration de candidature approche : " A compter du 15 février et jusqu'au 10 mars, tout est possible ! " confie un proche. " Quand je serai en campagne, ce sera plus simple pour moi ", a-t-il aussi avoué. " Il y aura plusieurs séquences : la marche d'approche, la candidature, le premier tour et le second tour "…
Reprise en main
Concernant sa situation à 81 jours du premier tour, Nicolas Sarkozy semble là aussi satisfait : " C'est pas mal d'être là où j'en suis en n'étant pas candidat. Il y a quatre mois, on me contestait le leadership à droite avec Villepin. Après, on m'a contesté le leadership au centre avec Borloo, dont on disait qu'il serait devant moi. Tout ça est déblayé. J'ai fait l'unité de la famille ", s'est-il félicité, revigoré par son émission télé de dimanche dernier et ses nombreux spectateurs : " 17 millions de personnes ! On a amené les autres sur mon terrain. Tout le monde parle de mes propositions ».
De suicidaire à mort-vivant
Enfin, le président qui se présentait il y a quelques jours comme " le suicidaire le plus en forme de France " a rebondi sur sa propre formule pour afficher un moral d'acier : " J'ai fait un off, on en a parlé pendant une semaine. C'est pas mal pour un mort-vivant ! "
Réactions du PS
De leur côté, les socialistes ont vivement réagi jeudi aux confidences de Nicolas Sarkozy. "Ce qui va lui coûter cher au moment de la présidentielle, ce n'est pas simplement sa politique économique et sociale, c'est son comportement personnel", a taclé sur Europe 1 Claude Bartolone, président du Conseil général de Seine-Saint-Denis.
Manuel Valls, en charge de la communication de François Hollande, a lui condamné des "propos indignes" sur son compte Twitter. "Décidément le candidat UMP n'a pas changé", a conclu le député-maire d'Evry.