De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
“Une ruée dans les magasins”. Voilà comment qualifie la chargée d’études à l’institut NielsenlQ, Myriam Qadi, le comportement des Français et même des Européens au lendemain du début du conflit russo-ukrainien. Elle explique dans les colonnes de 60 millions de consommateurs que ce sont des dépenses notamment faites sur les produits de première nécessité, trouvables dans les supermarchés.
Cependant, relevait-elle, “Début mars, il y a eu un phénomène de ventes anormal, avec un taux de disponibilité qui a commencé à diminuer”. Car une plus grande demande requiert un plus grand stock, que les réserves françaises risquent d’avoir du mal à soutenir.
En outre, faut-il encore que la chaîne d’approvisionnement puisse suivre… En effet, la guerre vient enrayer le transport de certaines marchandises, fragilisant un peu plus un système déjà affaibli par la pandémie, informe le média Capital.
C’est tout un processus qui est répété chaque semaine, selon elle : “Les rayons sont réapprovisionnés le lundi ou le mardi. Mais les jeudis, vendredis et samedis,on est dans un schéma de rupture totale en magasin."
Quels sont les plats qu’on ne pourra plus manger ?
D’après Myriam Qadi, certaines denrées vont être de plus en plus difficile à trouver… Il faudra donc théoriquement dire adieu à quelques-unes de vos recettes pourtant si adorées, au moins pour un temps.
Car pour l’instant, ces aliments ne sont pas encore à un seuil critique d’approvisionnement. Planet a réalisé le diaporama ci-dessous d'après des données récoltés sur 60 millions de consommateurs et Marianne. Il présente les plats de plus en plus difficiles à préparer à cause des présentes ou futures pénuries qui touchent le secteur alimentaire.