![](/files/styles/pano_m/public/images/article/2/5/1/2967152/vignette-focus.jpg?itok=ig_Ux4hC)
INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
C’est une affaire inédite. Si jusqu’ici les arnaques aux distributeurs automatiques de billets trafiqués étaient connues, c’est une nouvelle affaire d’escroquerie à la carte bancaire qui a été mise au jour par la police.
L’escroquerie aurait consisté à trafiquer de toutes pièces des terminaux de paiement électronique (TPE). Sans que les victimes ne s’en rendent compte, ces terminaux enregistraient à la fois le code de leur carte bancaire et les données de celles-ci.
Les malfaiteurs, vraisemblablement aidés de commerçants, utilisaient par la suite les données de la carte pour les réutiliser à l’étranger. "Personne ne comprenait ce qui se passait" ni "d'où ces débits venaient, ils échappaient à tous les filtres habituels", a précisé Valérie Maldonado, dirigeante de l'office anti-cybercriminalité de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), citée par France 3 Île-de-France.
"Quinze personnes, dont des petits commerçants présumés complices, ont été interpellées et une dizaine écrouées ces derniers jours", a ajouté Valérie Maldonado. Le préjudice, qui n’est pas encore connu, pourrait dépasser les centaines de milliers d’euros. Les victimes seraient quant à elles des centaines.
En vidéo sur le même thème : Piratage des cartes bancaires : les conseils pour éviter les fraudes
Découvrez encore plus d'actualités, en vous abonnant à la newsletter de Planet.
Votre adresse mail est collectée par Planet.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.