Bruno Rejony avait 52 ans et était cheminot à la SNCF. Le soir du 24 décembre, il s'est suicidé en se jetant du TGV qu'il conduisait, créant une immense pagaille sur le réseau et privant des milliers de...
Après le démantèlement d’une escroquerie aux expertises il y a quelques mois, 5000 courriers avaient été envoyés aux propriétaires de véhicules à risque, mais 1300 d’entre eux sont restés sans réponse.
Face aux automobilistes qui ne se sont pas fait connaître, le ministère de l’Intérieur a décidé d’envoyer une dernière lettre aux personnes concernées afin de leur mentionner l’interdiction d’utiliser le véhicule.
Faire réparer le véhicule à ses frais
Si les conducteurs persistent, ils s’exposent "à une amende de 4eme classe (135 euros) et, en cas de contrôle, à l'immobilisation de son véhicule et à son placement en fourrière", selon la délégation interministérielle à la Sécurité routière, citée par Le Figaro.
Les véhicules rappelés depuis quelques mois sont mal réparés et donc potentiellement dangereux pour leur conducteur mais aussi pour les autres automobilistes. Pour ne pas voir leur voiture être immobilisée, les propriétaires concernés peuvent la faire remettre aux normes, à leurs frais.
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