Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Le télépéage, un badge pratique... Qui peut coûter plus cher que prévu. En effet, ce petit objet peut faire gagner énormément de temps, car il permet de ne pas s’arrêter aux péages et de passer directement la barrière.
Cette fonction s’avère particulièrement pratique dans les trajets qui comportent de nombreux embouteillages. C’est ainsi un objet qu’il peut être utile de prévoir avant de partir en vacances cet été ou même pour le week-end de la Pentecôte.
Vinci Autoroutes propose le badge télépéage "Ulys Classic" avec un abonnement avantageux. Il s’élève en effet à deux euros par mois utilisé, rappel Capital. Cela signifie que l’entreprise ne vous facture que les mois durant lesquels le badge a été utilisé. Ainsi, si vous ne prenez pas l’autoroute pendant plusieurs mois, vous ne devez pas être débité.
Badge télépéage : "des frais cachés" pour 60 millions de consommateurs
Seulement, il existe en réalité d’autres frais dont de nombreux abonnés ignorent l’existence. En effet, Vinci Autoroutes prélève des frais de dix euros lorsque le badge n’a pas été utilisé pendant quatorze mois.
60 millions de consommateurs dénonce des "frais cachés". En effet, sur la page d'accueil de souscription, on peut lire : "0€ lorsque je ne circule pas. Puis 2€ /mois lorsque je circule".
Il faut aller tout en bas de la page et lire les petits caractères pour s’en rendre compte. "En cas de non-utilisation du badge pour chaque période de 14 mois consécutifs, des frais de non-utilisation de 10€ TTC seront facturés le 15ème mois.", peut-on lire.
Pour le magazine, il faudrait que cela soit écrit noir sur blanc en haut de la page. Il dénonce ainsi "des frais cachés au moment de la souscription".