De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Envie de personnaliser vos plaques d’immatriculation ? Avant de vous lancer, mieux vaut connaître ce qui est autorisé, ou au contraire, interdit. Certes, le choix de l’identifiant régional est libre, mais pas question toutefois d’apposer un sticker, ou d’utiliser une police autre que celle homologuée. Aucune fantaisie n’est en effet tolérée, sous peine d’amende de 4e classe, pouvant aller jusqu’à 750 €. Celle-ci est néanmoins souvent convertie en amende forfaitaire de 135 €, minorée à 90 €, avec immobilisation possible du véhicule.
Quant aux falsifications de plaques, qui constituent un délit, elles sont passibles de 3 750 €, avec 5 ans de prison, 6 points perdus, 3 ans de suspension et confiscation du véhicule, rapporte le site spécialisé Autoplus.
Plaques d’immatriculation : gare aux combines de dissimulation
L'immatriculation d’un véhicule permet de l’identifier sur la voie publique, tout comme son propriétaire. Elle doit donc impérativement être lisible.
Il n’est ainsi pas question d'y placer une feuille pour dissimuler l’immatriculation. Cette astuce qui consiste à coller une feuille morte sur une partie de la plaque pour échapper aux radars et autres caméras peut en effet vous coûter gros : 1500 € d’amende minimum. Même sanction pour l’utilisation de films réfléchissants ou la vaporisation d'un spray sur les plaques.
Boue, lettre décollée, mal fixée… Une plaque d’immatriculation détériorée ou non entretenue peu aussi vous valoir un PV de 135 €. Afin d’éviter toutes représailles, pensez à la soigner.