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Si les salariés du privé devront bientôt tous souscrire à une complémentaire santé, les fonctionnaires, retraités ou chômeurs pourraient trouver une autre solution à cette assurance parfois très onéreuse, comme l’explique L’Express.
Il est en effet possible de voir si cette mutuelle a un réel intérêt, en évaluant notamment son coût et en le comparant avec les remboursements, qui ne sont parfois pas à la hauteur de ce que vous attendiez.
"Richard, 35 ans, marié et deux enfants à charge, a fait ses comptes : 240 euros remboursés par sa mutuelle en 2011, 215 euros en 2012, 300 euros en 2013, 250 euros en 2014. Peu ou prou 1000 euros sur quatre ans, quand il aura déboursé 6700 euros de cotisations !", donne comme exemple l'hebdomadaire. Et les écarts peuvent être encore plus grands pour les retraités.
S'auto-financer
Comme le rappelle également L’Express, la mutuelle ne vous remboursera pas en cas de maladie grave, les risques les plus coûteux (cancer, insuffisance cardiaque, diabète…) étant pris en charge à 100% par l'Assurance maladie.
L’idée serait alors de s’auto-financer, selon l'hebdo, en plaçant régulièrement "une somme identique à celle qu’était votre cotisation mutuelle sur un livret d'épargne dédié à votre santé et dans lequel vous pourrez puiser en cas de problème".
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Un sondage Odoxa/Le Parisien/Caisse d'épargne publié en décembre 2014 montrait que les actifs dépensaient en moyenne 72 euros mensuels pour une complémentaire santé tandis que les retraités déboursaient la somme de 121 euros.
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