Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
Il existe des astuces pour réduire le prix de son hôtel, pour piéger un hôtelier peu scrupuleux, ou encore pour déjouer certaines pratiques commerciales désavantageuses. Mais quand lorsque l’on organise ses vacances - a fortiori à la dernière minute -, la méfiance n’est pas forcément de mise. Pourtant, dans ce domaine, une certaine vigilance s’impose. D’autant plus que de tels achats sont propices aux arnaques. En témoigne cette nouvelle vague de courriels frauduleux signalée par Capital et l’association UFC-Que Choisir.
Des courriels très ressemblants
Sur leur boite directement ou bien sur la plateforme Booking, des clients reçoivent des demandes visant à renseigner des coordonnées bancaires. Un lien renvoie vers un site qui ressemble à s’y méprendre à la plateforme. Une fois les coordonnées rentrées, soi-disant pour réaliser la transaction, une page indique que celle-ci aurait “échoué".
Attention, ces messages semblent très crédibles en apparence car ils contiennent de nombreuses informations très précises et leur apparence copie celle du site. Il s’agit en réalité de techniques de phishing, ou hameçonnage, qui peuvent coûter des milliers d’euros.
Pas de remboursement
Le problème, c’est que Booking refuse les remboursements au motif qu’il n’est qu’un “intermédiaire entre voyageurs et lieux de villégiature” et à ce titre, il “n’est pas responsable de ce qu’il se passe en dehors de son site”, rappelle l’UFC–Que Choisir.
Ce n’est qu’un exemple, et il y en a d’autres. En effet, les personnes malveillantes utilisent désormais des technologies de pointe pour arriver à leurs fins.
Pour s’en prémunir, et réserver ses vacances dans les meilleures conditions en passant par des plateformes telles que Booking, nous avons compilé quelques questions cruciales à se posée, tirées entre autres par des suggestions du site gouvernemental Cybermalveillance.gouv, à lire ci-dessous.