La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
Généralement, le conflit oppose les juilletistes et les aoûtiens. Cependant, force est de constater qu’une troisième faction émerge désormais : les touristes qui préfèrent attendre les derniers moments de l’été pour partir. Ceux-là arpentent les routes et les pays étrangers en septembre. Mais quels sont les avantages d’une telle pratique ? Pourquoi préférer des vacances tardives à des congés plus précoces ? Récapitulatif.
Bien souvent, explique le site spécialisé Pierre & Vacances, c’est l’assurance d’éviter tout ou partie des fortes chaleurs qui accompagnent de plus en plus régulièrement les mois de juillet et d’août. Pour autant, cela ne veut pas dire qu’il fait moche ! En témoignent les prévisions météo d’ores et déjà annoncées par Planet pour les semaines à venir. De plus, c’est loin d’être le seul avantage : il faut aussi se rappeler que le mois de septembre étant moins courant pour partir en vacances, les touristes sont de facto moins présents. Moins de queue, moins de bouchons, des sites plus accessibles… La liste des avantages ne fait que s’allonger.
Les vacances en septembre, c’est aussi moins cher !
Autre avantage, et pas des moindres ! Partir en septembre, c’est-à-dire partir hors-saison, c’est généralement considérablement moins cher. Comme l’explique le journal C’est à Cherbourg, la locale du portail Actu.fr, l’argument numéro 1 demeure celui du prix. “Même si cette année c’est beaucoup plus cher que d’habitude, ça reste quand même plus abordable de partir en juin ou septembre. Deux adultes + un enfant pour un hôtel spa 5 étoiles en Grèce avec billet d’avion : 2000 €, contre 5000€/6000€ en juillet /août pour le même hôtel”, détaille l’une des vacanciers ainsi interrogée.
Pourquoi ne pas vous prévoir de petites vacances en solitaire et à la dernière minute ? Retrouvez, dans notre diaporama ci-dessous, la liste des destinations les plus pertinentes.