De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Oscar Nilsson, artiste médico-légal britannique, a accompli un véritable exploit. En se basant sur un crâne vieux de plus de 5500 ans retrouvé en 1863 dans une allée couverte, aux abords des monolithes de Stonehenge en Angleterre, celui-ci est parvenu à reconstituer le visage de l’homme à qui il a appartenu à l’aide de cire.
Cette réalisation, d’un réalisme bluffant, nous permet ainsi de côtoyer nos ancêtres de la période néolithique, à la physiologie étonnement similaire à la nôtre, et nous renseigne grandement sur l’apparence des bâtisseurs d’un des monuments les plus remarquables de notre Histoire.
Un projet de rénovation pharaonique
Cette prouesse technologique et artistique s’inscrit au cœur d’un immense projet de rénovation du site. D’un coût de plus de 32 millions d’euros (£27 millions), ces travaux pharaoniques ont pour objectif de développer un accès au million de visiteurs annuel, principalement par navette, qui n’altèrera pas la pérennité du plus vieux monument du monde. Un axe routier, en juin dernier, a même été définitivement fermée. Le projet inclut par ailleurs l’ouverture d’un musée dédié à Stonehenge et à ses mystères, où sera exposé le visage de cire aux côtés du crâne dont il découle.
Le projet, mené par l’organisme English Heritage, gérant du site depuis 1984, a été financé par dons.