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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
© abacapressMardi dans la matinée, une fusée russe appelée Proton-M, a explosé quelques secondes après son décollage depuis une ville du Kazakhstan, Baïkonour. L'engin transportait trois satellites pour le système de navigation Glonass. S’il n’y a pas eu de blessé lors de cette explosion, le coût des dégâts et de la perte de ces trois satellites est estimé à plus de 200 millions de dollars.
La chaîne de télévision publique russe Rossia 24, a diffusé en direct le décollage de la fusée de l’Agence spatiale russe, Roskosmos. Cette même agence a ensuite expliqué dans un communiqué que si l'engin a explosé c’est parce que ses moteurs ont tout simplement arrêté de fonctionner. Lorsque la fusée a touché le sol, à 2,5 kilomètres du lieu de lancement, elle a créée un cratère de 150 à 200 mètres de diamètre selon les premières estimations.
Une explosion dangereuse pour l’homme
Lorsque la fusée a explosé, elle a créée une fuite de combustible dangereux pour l’homme. Talgat Moussabaïev, le président de l’Agence spatiale kazakhe, a expliqué qu’"un nuage de fumée provoqué par la combustion de l’heptyle (la fusée en contenait 600 tonnes) s’est formé au-dessus du territoire du cosmodrome." C’est pourquoi les habitants des alentours ont reçu pour consigne de rester chez eux et de fermer leurs fenêtres.
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