Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
"Cette phrase est la phrase d’un salaud". Excédé par les propos de Patrick Sébastien, invité sur le plateau d’On n’est pas couché, sur France 2, Yann Moix s’est emporté, samedi dernier.
A l’occasion de la sortie de son nouveau livre Le vrai goût des tomates mûres, Patrick Sébastien a évoqué certains moments de son enfance, notamment son éducation stricte qui nécessitait parfois des coups de martinets.
Une "violence light" bénéfique, selon le présentateur du Plus Grand Cabaret du Monde puisqu’elle lui a permis de devenir la personne qu’il est aujourd’hui. Le chanteur a même comparé l'utilisation du martinet sur les enfants avec les bagarres de comptoir et les mêlées au rugby.
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"La violence light ca n'existe pas"
Des propos qui sont très mal passés auprès du chroniqueur Yann Moix, lui-même lourdement battu par son père pendant son enfance.
"La grande différence entre une fessée sur un enfant et les mêlées, les bastons de comptoir et autres démêlés de bal musette, c'est l'humiliation infligée à un être qui ne peut pas se défendre. (…) Le mot violence et le mot light forment un oxymore. Ce sont deux mots qui ne se marient pas très bien. La violence light, ça n'existe pas", s’est-il emporté outré, avant d’ajouter : "Des adultes qui frappent des jeunes enfants qui sont incapables de se défendre, cette phrase est la phrase d'un salaud !".
Le débat est très vite devenu houleux, Patrick Sébastien se sentant lui-même accusé de violence par le chroniqueur.
Des tensions entretenues par les huées du public envers Yann Moix. "Je méprise tous ceux qui ont applaudi", a rétorqué ce dernier.