Valérie Trierweiler : une marraine qui gêne les associations humanitaires ?

Depuis quelques mois, Valérie Trierweiler ne présenterait plus le même intérêt aux yeux des responsables d’associations humanitaires. Un changement qui ne serait pas dû au fait qu’elle n’est plus Première dame mais plutôt à ses nouvelles activités, indique le Parisien Magazine à paraître vendredi. En effet, la sortie de son livre Merci pour ce moment en septembre dernier, l’accueil médiatique qui lui a été réservé, les scandales qu’il a provoqués et la tournée mondiale que l’ex-compagne de François Hollande s’apprête à entamer pour le promouvoir seraient la cause de ce revirement.

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"Elle est devenus une marraine parmi d’autres"Une bonne marraine est "une personnalité qui a la sympathie du public et qui mène sa carrière sans tapage et sans faire d’erreurs", a ainsi expliqué à l’hebdomadaire Antoine Vaccaro, le président de Faircom, une agence qui aide à lever des fonds. Aussi, avec 70% d’opinions défavorables à son égard (sondage Harris interactive pour VSD), Valérie Trierweiler ne serait plus aujourd’hui une marraine d’exception. "Elle est devenue une marraine parmi d’autres", a de son côté commenté Guy Alba, le président de l’association ELA, auprès du Parisien Magazine. "Les légendes des photos de Match étaient trompeuses. Mme Trierweiler était sur place pour une raison qui n’avait rien à voir avec nous et, ayant appris que nous allions inaugurer une station d’eau potable dans un village proche de Tananarive, elle a contacté nos équipes pour annoncer sa venue", a quant à elle raillé l’équipe de communication du Secours populaire, évoquant un reportage publié il y a quelques semaine par Paris Match et dans lequel la journaliste se mettait en scène en tant qu’" ambassadrice" de l’association.

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"Je continuera mon combat"Au lendemain de sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler avait pourtant réaffirmé son engagement et assuré qu’elle continuerait de mener ses différents combats auprès des associations avec lesquelles elle s’était engagées du temps où elle partageait la vie du chef de l’Etat. "Ce n’est pas parce que je ne suis plus première dame que la vie s’arrête. Je continuerai mon combat humanitaire", avait-elle prévenu.

Valérie Trierweiler est actuellement engagée auprès de plusieurs associations : le Secours populaire, Action contre la Faim, France Libertés et ELA. 

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