La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
Il y a bientôt un mois Merci pour ce moment sortait en librairie, provoquant un véritable raz-de-marée dans le milieu de l’édition. En seulement deux jours les stocks ont été épuisés et Valérie Trierweiler s’est rapidement retrouvée millionnaire. Le Figaro estime à 1,3 million d’euros la somme qu’elle va empocher avec ce livre. A lire aussi –Valérie Trierweiler : merci pour ce million
"L’écriture m’a aidée à surmonter le passé"Vengeance d’une femme trompée et humiliée par l’homme qu’elle aimait, voilà à quoi ce sont jusqu’à présent résumées les prétendues raisons pour lesquelles l’ex-Première dame a voulu écrire cet ouvrage. Oui, mais pas que, a-t-elle en substance répondu cette semaine dans les colonnes de Paris Match. Au magazine qui l’emploie depuis 1989, la journaliste a en effet expliqué avoir voulu écrire, avant tout, pour elle-même. Pour se libérer de cette affaire qui l’a empoisonnée au cours de ces derniers mois. "L’écriture m’a aidée à surmonter le passé", a confié celle qui n’a jamais vraiment commenté la sortie de son livre, préférant fuir à l’étranger pour réaliser des reportages. "J’aurai 50 ans dans quelques mois. J’ai vécu des choses pas banales. J’aborde une autre période de ma vie, plus sereine, j’espère. L’écriture m’a aidée à surmonter le passé et je suis heureuse de l’avoir fait", a-t-elle aussi raconté. A lire aussi –Mais que fait Valérie Trierweiler pendant que les ventes de son livre explose ?
"Un dirigeant ne voit pas la réalité"Alors que François Hollande et son entourage sont montés au créneau pour dénoncer certains passages incisifs de Merci pour ce moment qu’ils assurent mensongers, Valérie Trierweiler a également profité de son interview pour remettre les points sur les "i". "Le seul reproche que je n’accepte pas, c’est celui du manque de sincérité. Et je n’accepte pas les accusations de mensonges", a-t-elle lâché. Et celle-ci d’ajouter, dans une pique à peine dissimulée à l’égard de celui qu’elle accuse de surnommer les pauvres "les sans-dents" : "La politique isole de tout et de tous. Un dirigeant ne voit pas la réalité". A lire aussi – Méprisant, macho… découvrez le portrait peu flatteur que Trierweiler peint de Hollande dans son livre Valérie Trierweiler a par ailleurs indiqué comment l’humanitaire l’aidait également à surmonter l’épreuve de sa rupture avec le chef de l’Etat. "Personne ne me reconnaît au fin fond d’un village de Madagascar ou dans un quartier défavorisé au bout du monde", a-t-elle déclaré avant de conclure : "C’est sans doute la meilleure façon de passer à autre chose, de tourner la page. Et d’être enfin moi-même, libérée du passé".
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