De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Selon une information de RTL, une djihadiste française soupçonnée d’avoir voulu enrôler des Françaises pour rejoindre la Syrie, est actuellement entre les mains de la justice.
La jeune femme de 21 ans qui se prénomme Maeva, mais se faisait appeler Oum Zahra, aurait ainsi servi de tour opérateur et d’agence matrimoniale.
Maeva voulait vivre sous la charia
C’est au printemps de l’année dernière que la jeune femme, qui voulait "vivre sous la charia et faire de l’humanitaire", selon la radio, débarque en Syrie où elle épouse très vite un combattant de l’Etat islamique.
A lire aussi - Etat islamique : le rôle des femmes se précise
Sur place, avec un téléphone portable et une connexion internet, elle entre en relation avec de jeunes françaises tentées par le djihad en leur racontant le quotidien sur place, posant même "en photo avec sa kalachnikov en bandoulière". Maeva oriente aussi les jeunes recrues vers des passeurs en Turquie et se propose enfin de leur trouver un époux en Syrie parmi les hommes gravitant autour de son mari.
Elle assure s’être repentie
C’est à son retour en France cet été, à la descente de son avion, que la recruteuse a été arrêtée par les forces de l’ordre. Mais devant les enquêteurs, Maeva dit s’être repentie et ne veut plus être appelée Oum Zahra.
Pourtant, "il y a encore quelques mois, elle conseillait à deux jeunes adolescentes de mener des opérations martyrs en France si elles ne parvenaient pas à rejoindre la Syrie.", indique RTL.
Vidéo sur le même thème : La France dévoile sa vidéo choc contre le djihadisme