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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
© abacapress"Sauver des vies au mépris de la sienne". La devise du GIGN, Groupement d'Intervention de la Gendarmerie Nationale, a été respectée pour maîtriser un individu de 62 ans soupçonné d'avoir abattu deux hommes, jeudi matin à Perriers-en-Beauficel, dans la Manche, selon l'AFP. Une intervention sans heurts, effectuée par un commando du GIGN composé de 20 à 30 hommes cagoulés, arrivé sur les lieux vers 16h15.
Le groupe d'intervention, qui fut créé en 1973 pour répondre aux problématiques apparues avec la prise d'otage des athlètes Israéliens lors des JO de Munich, a pris ses quartiers à la salle des fêtes de Chérencé-le-Roussel. Une base opérationnelle située à quatre kilomètres des lieux du double meurtre, d'où le GIGN a programmé avec succès son intervention.
Le drame se serait déroulé dans la matinée de ce jeudi 21 février. Le forcené âgé de 62 ans aurait tiré au moyen d'un fusil de chasse sur deux hommes. L'un deux était le nouveau propriétaire de la résidence devant laquelle il a été assassiné. Tous deux étaient des âgés d'une quarantaine d'années. Le propriétaire, qui venait d'acquérir son bien, avait accepté que son ami occupe gracieusement une dépendance de la maison. Ce dernier effectuait des travaux d'élagage au moment des faits
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