De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Paris Match, Tony Musulin est revenu sur ses trois années et demie de prison passées à l’isolement et sur son casse digne des plus grands films sur les truands. L’homme a notamment indiqué regretter de ne pas avoir réussi à échapper à la traque des policiers. "Mon seul regret est d'avoir raté mon coup. Et si j'avais su ce que j'allais endurer en prison, je ne me serais jamais rendu", a-t-il affirmé avec sérénité. Tony Musulin n’est pas du genre à se laisser faire. Lors de son passage en prison, il a même laissé des dégâts sur quelques unes des portes de ses anciennes cellules. "Je recevais les factures, 100 euros par çi, 300 euros par-là. Je leur disais d'aller se faire foutre avec", a-t-il lâché.Lucide, l’homme sait que la plupart des Français pensent qu’il détient encore les 2,5 millions d’euros disparus depuis son casse. "Avec seulement 2,5 millions, tu cours, tu fuis, tu disparais. Sans argent, j'aurais cavalé combien de temps ? Je n'ai pas le premier euro de ce qu'ils racontent", a-t-il déclaré, avant d’ajouter sur le ton de la rigolade : "Mais si ça plaît aux gens de penser que c'est moi, ça ne me dérange pas. Si ça fait fantasmer les filles, tant mieux !". "Je veux me casser au plus vite"Selon l’ancien employé du transporteur de fonds Loomis, la police sait qu’il n’a plus un sous et pour cette raison, elle le laisse tranquille. "Je suis persuadé que les policiers savent que je n'ai pas pris un sou. Sinon, j'aurais été suivi dès ma sortie et, en ce moment, je serais surveillé", a-t-il assuré. Arrêté à Monaco après 10 jours de cavale, Tony Musulin en a marre de la France. Son avenir, il l’imagine désormais à l'étranger : "Je veux me casser au plus vite", a-t-il conclu.
Le convoyeur de fonds le plus célèbre de France a décidé de se livrer. Dans l’hebdomadaire