De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Tatouages, piercings, ou encore barbes, l’apparence physique de certains policiers laisse parfois à désirer. C’est du moins ce que souligne un document de la direction générale de la police nationale, à la suite d’un constat délivré par l’ensemble des médecins en charge du recrutement des agents de police. Un bilan jugé préoccupant puisque de plus en plus de recrues seraient adeptes des looks fantaisistes, voire même "iconoclastes", comme le révèle RTL.
L'impartialité remise au goût du jour
La direction a ainsi décidé de reprendre les choses en main. L’objectif ? Rappeler aux policiers qu’il leur est impératif de respecter les principes du code de déontologie auxquels ils sont soumis : l’impartialité, la dignité et la neutralité. Tous signes laissant transparaître une appartenance à une quelconque organisation, qu’elle soit de nature politique ou syndicale, devraient ainsi être prochainement bannis.
Apparence soignée exigée
Mais les exigences du document vont encore plus loin. Les policiers barbus ou à la chevelure peu soignée pourraient par la suite être contraints d’aller… chez le coiffeur. Autre élément notable quant aux nouvelles mesures envisagées : l’interdiction des lunettes de soleil. Ces dernières représenteraient en effet un "danger en cas d’emploi de la force", comme l’indiquent nos confrères. Si pour l’heure il ne s’agit que d’un document interne, certaines règles pourraient être adoptées dans un futur proche.