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Alors qu’il vient d’avouer le meurtre de sa petite amie égorgée dans un parc à Perpignan, RTL rapporte que le jeune tueur présumé avait déjà été signalé au service du renseignement territorial des Pyrénées-Orientales. En cause : un incident survenu dans son lycée en début d’année suite auquel Kader, 18 ans, avait été exclu de son établissement pour "mauvais comportement". Une fiche confidentielle avait même été émise à son sujet, le 8 janvier, dans laquelle le lycée du jeune homme expliquait s’inquiéter d’une possible "dérive sectaire" de sa part.
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La note confidentielle est datée du 8 janvier, soit le lendemain de l’attaque à Charlie Hebdo. La mère du jeune homme aurait également expliqué au proviseur craindre, "suite aux récentes actualités", que son fils "maintenant livré à lui-même" soit tenté de "faire une bêtise".
La mère était ensuite revenue sur ses propos
Mais lorsque la police du service local du renseignement a contacté la mère, celle-ci est revenue sur ses propos. Elle aurait alors assuré que son fils ne tenterait jamais de porter atteinte à la République. Les policiers ont donc conseillé à la mère du jeune homme de le "rescolariser", ce qui lui avait réussi puisqu’il avait décroché son bac en juin dernier.
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