De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Vendredi 26 avril, à 8h30, une maman dépose son enfant à la maternelle, rue Decamps dans le XVIème arrondissement de Paris. Pressée, elle se gare rapidement à une vingtaine de mètres de l’école, sur une piste cyclable et laisse attaché dans sa voiture aux vitres teintées son nourrisson de 3 semaines. Elle ressort de l’école maternelle quelques minutes plus tard et découvre avec effroi que sa voiture n’est plus là. Son bébé non plus. Une autre maman, témoin de la scène, l’amène suivre "la voiture en fourrière".
Elle y retrouvera son bébé, sain et sauf. L’autre maman, témoin, elle aussi garée sur la piste cyclable, dénonce la rapidité des services de la fourrière. Elle confie à TF1 avoir été "vraiment choquée" par rapport au fait qu’"ils vont tellement vite, qu'ils ne regardent plus ce qu'il y a dans les voitures."
Un enfant de 9ans lui aussi embarqué
Non loin de ce quartier, dans le XVIIème arrondissement cette fois, un enfant de 9 ans faisait une sieste à l’arrière du véhicule familial quand la voiture a été soulevée par les fourrièristes. Etant plus grand, il s’est réveillé, s’est manifesté à temps et n’a pas été embarqué.
Tout en soulignant le caractère "exceptionnel" de ces deux incidents, la préfecture de police a tout de même décidé d’ouvrir une enquête admnistrative. Les employés seront écoutés. Cependant, la police rappelle l’irresponsabilité des parents qui ont laissé un nourrisson seul dans une voiture.