De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 battra son plein ce soir et accueillera les 10 500 athlètes qui concourent dans 45 disciplines. En amont de l’évènement, les délégations ont pris tour à tour possession du village olympique dès jeudi dernier avec parfois quelques surprises et un confort qui n’était pas des plus optimals. Hier, des escrimeurs français ont effectué le trajet entre le village des athlètes situé en Seine-Saint-Denis, et le Grand Palais qui accueillent leurs épreuves en 1h40.
“A un moment, la voie olympique s’est arrêtée. On a mis 1h40 en tout, mais c’est exceptionnel, puisque d’autres athlètes avaient mis 45 minutes pour le même trajet mercredi. Ça fait partie des aléas” explique Yannick Borel, escrimeur français.
La cantine déjà victime de son succès
La veille, nombre d’athlètes se plaignaient du manque de nourriture dans le restaurant principal du village. Selon L’Équipe, plusieurs athlètes sont mécontents de la “quantité de nourriture proposée, jugée insuffisante mardi soir et mercredi matin, ou de la vitesse de réapprovisionnement de certains aliments”.
Le restaurant principal assurant 40 000 repas par jour alimente les sportifs du petit-déjeuner au dîner et est accessible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. La semaine dernière, ce sont les lits en carton qui étaient pointés du doigt. "Première nuit sur les lits en carton. J'ai déjà eu un massage pour réparer les dégâts", avait déclaré la joueuse de water-polo australienne Matilda Kearns. Retour sur plusieurs fausses notes signalées par les athlètes depuis le début des épreuves.