La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
La situation épidémiologique n’a de cesse de se dégrader. Et si Emmanuel Macron se félicite aujourd’hui de ne pas avoir reconfiné le pays en début d’année, indique Le Parisien, force est de constater qu’il y vient tout de même petit à petit, département par département.
Le jeudi 25 mars 2021, le ministre de la Santé et des Solidarités annonçait justement la mise sous cloche de trois nouveaux départements, note BFMTV. Comme c’est le cas pour les 16 autres municipalités et collectivités concernées, les restrictions de libertés ne seront pas aussi drastiques qu’elles ont pu l’être lors du premier confinement. Elles entreront en vigueur dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 mars de la même année. Plus de détails sur la liste des malheureux départements sélectionnés dans notre diaporama. Le tout pour au moins un mois.
Covid : une vingtaine de départements placés en sursis
Olivier Véran ne s’est d’ailleurs pas arrêté là. Il a aussi annoncé d’autres évolutions concernant une vingtaine d’autres départements, qui ont tous été placés sous vigilance renforcée. Le choix de l’exécutif s’est basé sur plusieurs critères, parmi lesquels le taux d’incidence élevé ou la saturation des services de réanimation. Autant de marqueurs assez habituels de l’épidémie, donc.
En pratique, cela n’implique pas - encore ? - de restrictions des libertés des résidents concernés. Cependant, il n’est pas inenvisageable qu’à terme, ces départements soient eux aussi confinés. Dès lors, certains commerces non-essentiels seraient fermés et les déplacements seraient limités aux seins des régions confinées.