Pour préserver une ambiance sereine et festive lors des repas de Noël, il est préférable d’éviter certains sujets. Voici les 6 thématiques à bannir selon un sondage.
Un pas de plus dans l’horreur de Daech. Après avoir découvert la semaine dernière comment les enfants soldats étaient entraînés à exécuter les "infidèles", on apprend aujourd’hui comment l’organisation terroriste vend des esclaves mineurs. Une représentante des Nations Unis chargée du Secrétariat général de l’ONU sur les violences sexuelles en temps de guerre a en effet récemment témoigné après avoir pu consulter une "liste de tarifs" pratiqués par Daech pour vendre des enfants et des jeunes fille sur les marchés en Syrie et en Irak, rapporte Le Parisien ce mercredi. "La liste avait fait surface en ligne en novembre 2014, sur le site Iraqui News mais avait été présentée comme un faux à des fins de propagande. Aujourd'hui Zainab Bangura a certifié que ce document est bien réel", écrit le quotidien.
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"Les enfants entre 1 et 9 ans se négocieraient autour de de 165 dollars"Grâce à Zainab Bangura qui a passé "un certain temps dans la région », on apprend ainsi que les jeunes filles sont d’abord « trimbalées comme des barils d’essence" avant d’être vendues comme des esclaves. "Elles sont même parfois achetées pour ensuite faire une plus-value auprès des familles prêtes à payer des milliers de dollars en rançon", indique le journal. Concernant les prix, plus l’esclave serait jeune, plus il serait cher. Un montant qui grimpe également en flèche s’il s’agit d’une fille. "Les enfants entre 1 et 9 ans se négocieraient autour de 165 dollars (150 euros), tandis que les adolescents et des femmes voient leur prix diminuer dès qu'ils vieillissent...", détaille Le Parisien.
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Le prix des esclaves est par ailleurs dégressif en fonction du nombre de fois où ils ont été vendus et des acheteurs auxquels ils sont "proposés". Les leaders de Daech sont en effet les premiers à pouvoir se "servir", viennent ensuite les riches acheteurs étrangers venant pour la plupart du Moyen-Orient qui n’hésitent pas à débourser des milliers d’euros et enfin, les combattants de l’Etat islamiques, lesquels peuvent "acquérir" un esclave pour un prix souvent "revu à la baisse".
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