Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Le petit garçon de neuf ans avait dans sa chambre pas moins de 23 lettres. Si les fautes d’orthographes pouvaient laissaient présager une relation épistolaire entre deux écoliers, l'auteur des lettres était en réalité une employée de la commune. Les courriers évoquaient des rendez-vous avec le garçon, des baisers mais également l’envie de la femme, âgée de 30 ans, "d’avoir quatre enfants" avec l’écolier.
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L’employée, poursuivie
Les parents ont rapidement déposé plainte à l’encontre de l’employée, laquelle a reconnu les faits, sans pour autant les expliquer. La jeune femme a par ailleurs subi des tests psychiatriques écartant toute maladie mentale. Le procureur de la République de Dordogne a ordonné un rappel à la loi, lequel sera modifié en poursuite pénale si le petit garçon se décide à parler.
L’avocate de la famille, Me Nathalie Mandon, regrette que le procureur ne soit pas allé plus loin dans la procédure. "Si c’était un homme qui avait eu ce comportement, est-ce que le traitement du dossier aurait été le même ? Je ne pense pas", a-t-elle ainsi déploré à propos de ce cas de pédophilie.