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Brigitte Macron : c’est elle qui a organisé la virée au ski en plein cœur de la crise des "gilets jaunes"
Pendant que les "gilets jaunes" manifestaient à Paris le 16 mars, et en dépit des violences constatées à plusieurs reprises sur les Champs-Elysées, Emmanuel Macron passait son week-end à La Mongie. C’est dans cette célèbre station des Pyrénées que le président s’est accordé quelques instants de vacances… Jusqu’à prendre connaissance de la situation. Il est alors rentré en catastrophe à la capitale rappelle RTL.
"Dès qu’il a pris conscience de ce qui se passait il est parti. C’était évident", a d’ailleurs expliqué Brigitte Macron. La première dame, qui s’exprimait en marge du premier match mixte hommes-femme organisé au profit d’associations caritatives luttant contre les discriminations, a d’ailleurs pris la défense de son époux. "C’était moi qui lui avait préparé une escapade", a-t-elle reconnu devant les caméras, à la fin de la rencontre qui se tenait le mercredi 20 mars, à Reims.
"Il n’y a pas de réconciliation possible avec ce genre de violence", a-t-elle ensuite affirmé. D’après le site d’information, c’est "la première fois que Brigitte Macron sort de son cadre de première dame en parlant politique".
Brigitte Macron : elle vole au secours du président de la République
Le même jour, la première dame n’a pourtant pas hésité à voler au secours d’Emmanuel Macron. Comme le souligne le magazine people Gala, elle a également pris part au grand débat des enfants, qui s’est tenu à la Cité des Sciences et de l’industrie. Face aux micros, après l’événement, elle se range fermement du côté de son époux, souhaitant faire passer "un message de non-violence".
"Nous vivons dans un monde où nos enfants ne peuvent pas s’épanouir. Je pense qu’ils en ont conscience et qu’ils sont peut-être dépassés par cette violence", a-t-elle commencé. "On ne peut pas préparer ce monde à nos enfants. Il faut que ce dialogue persiste", estime-t-elle à propos du débat national souhaité par le chef de l’Etat. "Il y a beaucoup de choses à faire mais on ne pourra pas le faire dans ce climat", a-t-elle ensuite tempéré.
"Je parle de tout avec mon mari. Il est extrêmement ouvert au dialogue", a-t-elle encore indiqué.