Après des semaines d’insomnie, Caroline Darian avait annoncé qu’elle entrait en clinique plusieurs jours pour “pouvoir dormir”. Elle est de retour devant la cour criminelle du Vaucluse pour “affronter”...
Les scientifiques du CERN (L'Organisation européenne pour la recherche nucléaire) s’apprêtent à réutiliser l’accélérateur de particules qui avait servi à démontrer l’existence du Boson de Higgs, rapporte Slate. Cette fois-ci, il servira à prouver ou non l’existence d’univers parallèles. Pour atteindre cet objectif, d’importantes quantités d’énergie vont être produites afin de tenter de créer des mini-trous noirs, et ce dès la semaine prochaine.
Ces mini-trous noirs devraient ensuite permettre d’établir un pont avec d’autres dimensions, si elles existent. Une fuite de gravité entre notre univers et d’autres pourraient alors être détectée, ce qui prouverait l’existence d’univers parallèles. Pour accomplir cette mission, l’accélérateur de particules va devoir produire une énergie incroyable, l’équivalent de 1 000 milliards d’électrons volts.
"Ces dimensions existent dans notre univers"
Certains scientifiques sont d’ores et déjà persuadés de l’existence de ces dimensions parallèles. "Repliées sur elles-mêmes, elles sont si petites qu’elles sont indétectables, expliquait Etienne Klein, le chef du Laboratoire de recherche sur les sciences de la matière à 20 Minutes. Mais on ne doit pas parler d’univers parallèle : ces dimensions existent dans notre univers, simplement elles sont cachées."
En effet, d'après lui, plusieurs dimensions pourraient exister aux quatre coins de notre espace-temps. D'autres se montrent cependant plus mesurés. "Comme plusieurs feuilles de papier l’une sur l’autre, qui ne sont que des objets en deux dimensions qui peuvent exister dans une troisième, la hauteur, les univers parallèles peuvent aussi exister dans des dimensions plus élevées", a ainsi expliqué Mir Faizal, physicien au CERN, au quotidien britannique Express.