Pour préserver une ambiance sereine et festive lors des repas de Noël, il est préférable d’éviter certains sujets. Voici les 6 thématiques à bannir selon un sondage.
Elle s’est confiée au magazine par lequel le scandale de l’affaire Hollande-Gayet est arrivé en janvier dernier. En effet, Closer publie cette semaine une interview de Valérie Trierweiler, presque un an après avoir dévoilé la supposée liaison entre François Hollande et Julie Gayet.
"Je ne l’ai jamais rencontrée, je ne lui ai jamais parlé", a ainsi assuré l’ancienne Première dame à propos de celle qui lui aurait volé le cœur du président. "Elle ne m’a pas menti. Ce n’est pas par rapport à elle que j’ai voulu écrire ce livre, c’est par rapport à lui (François Hollande, ndlr)", a-t-elle ensuite expliqué à propos de la sortie de Merci pour ce moment. Et Valérie Trierweiler, d’insister : "C’était avec lui que je partageais ma vie. Alors ce n’était pas à elle de me dire la vérité".
Quant à sa reconstruction après l’épreuve de sa rupture avec le chef de l’Etat, l’ancienne locataire de l’Elysée a estimé qu’elle n’avait "pas le droit" de se dire qu’elle terminerait sa vie "sans connaître l’amour à nouveau".
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Blessée par la dureté des médias français
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Mais si la journaliste de Paris Match s’est montrée relativement apaisée, elle a en revanche tenu à souligner à quel point elle avait été blessée par le traitement médiatique dont elle a fait l’objet. "Les médias français ont été très durs avec moi, sans même avoir lu le livre", a-t-elle regretté tout en reconnaissant qu’elle savait qu’ils "réagiraient comme ils l’ont fait".
Depuis sa sortie en librairie en septembre dernier, Merci pour ce moment rencontre certes un succès fou – le livre est un best-seller – mais provoque également un déferlement de critiques. La plupart d’entre elles dénoncent un étalage de la vie privée de Valérie Trierweiler et François Hollande, ou encore un véritable "Hollande bashing".
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