La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
La polémique promet de ne pas désenfler. Au micro de France Bleu Saint-Etienne ce mardi, le maire Les Républicains de Roanne, dans la Loire, a maintenu sa position concernant l’accueil de réfugiés syriens dans sa commune. Yves Nicolin veut bien ouvrir leur ouvrir les portes de sa ville mais "à condition qu’il soit bien question de réfugiés chrétiens, qui sont persécutés, parce que chrétiens en Syrie, par Daech". Et celui-ci d’expliquer : "Je dis juste que nous devons vérifier les bonnes intentions des migrants (…) J’ai une conviction, je suis là pour protéger mes populations (…) Nous avons forcément parmi ces centaines de milliers de migrants des gens infiltrés par Daech".
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Eviter d’accueillir des "terroristes déguisés"Coupant court aux critiques que sa position suscite, le maire de Roanne a ensuite affirmé qu’il n’y avait "aucune discrimination religieuse" dans ce choix et a même regretté l’interprétation que "certains médias en ont fait". Dimanche, au micro de la même radio, Yves Nicolin avait annoncé ses intentions et fait valoir le fait que, selon lui, la chrétienté des réfugiés représente "une garantie suffisante" pour avoir "l’absolue certitude" que ces personnes ne sont pas des "terroristes déguisés".
Lundi, au cours de sa grande conférence de presse, le président François Hollande a indiqué que 24 000 réfugiés seront accueillis en France sur deux ans, selon la méthode des quotas appliquée par l’Union européenne. Une réunion se tiendra ce samedi au ministère de l’Intérieur avec les maires des différentes communes candidates pour les accueillir.
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