La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
Lorsqu’un conjoint décède, différentes démarches ont la nécessité d’être réalisées. En effet, des organismes précis doivent être prévenus de cette disparition tandis que des prestations peuvent également être réclamées par le partenaire survivant. Ainsi, il est possible de prétendre à une prestation de veuvage, qu’il s’agisse d’une retraite de réversion ou d’une allocation de veuvageaprès avoir informé les principaux concernés. Qui devez-vous prévenir au plus tôt ?
Décès d’un conjoint à la retraite : qui prévenir ?
Dans le cas où le disparu était retraité, il est, dans un premier temps, indispensable d’informer sa caisse régionale de retraite de son décès. Un courrier est, dans ce cas, recommandé pour réaliser cette démarche. Vous devez impérativement mentionner son numéro de sécurité sociale, son nom, son prénom, ainsi que la date et le lieu de son décès. Un acte de décès doit être joint à votre courrier. Grâce à cette première démarche, le versement de sa retraite est ainsi stoppé alors que la retraite du mois de décès reste réglée en totalité.
Décès d’un conjoint à la retraite : quelles démarches ?
Si vous informez les organismes de retraite tardivement du décès de votre conjoint, ceux-ci pourront vous réclamer les mensualités versées au-delà du mois de décès. Il convient donc d’être vigilant et de réaliser cette démarche au plus tôt. Il est également indispensable d’informer les autres organismes dont dépendait votre conjoint. Parallèlement, vous pouvez aussi demander une prestation de veuvagecomme une pension de réversion ou encore une allocation de veuvage.