De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Une vingtaine de personnes totalement nues en plein ébat. Voici la scène sur laquelle sont tombées les forces de l’ordre ce vendredi 27 novembre, appelées pour une fête clandestine, en plein confinement, a rapporté ce mardi 1ᵉʳ décembre La Dernière Heure.
"Une vingtaine de personnes ont été verbalisées pour non-respect des mesures sanitaires à la suite d’une soirée organisée vendredi soir, au 1ᵉʳ étage d’un immeuble au centre-ville de Bruxelles", a confirmé Sarah Durant, porte-parole du parquet de Bruxelles, citée par La Voix du Nord. Les policiers ont également mis la main sur des stupéfiants, dont de l'ecstasy.
Orgie clandestine : un eurodéputé parmi les convives
L’identité des convives est encore plus étonnante. Des diplomates et un député européen participaient à l’événement. Ce dernier, qui a tenté de fuir en voyant arriver la police, a été intercepté après s'être blessé. Pour tenter d’échapper à quelconques représailles, il aurait brandi son immunité parlementaire, empressant le ministère des Affaires étrangères à intervenir en pleine nuit.
L’eurodéputé est membre de Fidesz, le parti conservateur et populiste hongrois. Il s’agit de József Szájer. Il a d’ailleurs reconnu les faits mardi après-midi "La presse belge parle d’une fête privée à Bruxelles vendredi dernier. J’y étais (...) Je suis profondément désolé de ne pas avoir respecté les mesures contre le coronavirus. C’était irresponsable de ma part. Cette erreur est strictement d’ordre privé", a-t-il confié à 7 sur 7.
Le député européen, qui a présenté sa démission, assure toutefois ne pas en avoir consommé de drogue, même si le parquet affirme avoir retrouvé des stupéfiants dans son sac à dos. "Je ne prends pas de drogues. J’ai même demandé à subir un test pour le prouver, mais il n’a pas été effectué."