Paul G., 31 ans est accusé d’avoir violé Gisèle Pelicot en 2016. Il a reconnu les faits dans leur totalité ce vendredi 8 novembre, avant de faire part à la cour de son souhait de devenir pasteur.
Depuis qu’il a été nommé ministre en août 2014, Emmanuel Macron est sorti de l’anonymat. Ancien banquier d’affaires marié à son ancienne professeure de français de 24 ans son aînée, il fait même l’objet de nombreuses rumeurs. Et son récent départ du gouvernement de Manuel Valls n’y a rien changé, au contraire. De fausses histoires que lui et son épouse exècrent et qui les ont parfois poussés à faire des choses qu’ils ont ensuite regrettées. C’était notamment le cas de l’interview accordée par Brigitte Macron à Paris Match l’été dernier. Un long entretien dans lequel elle dévoilait quantités de petits détails sur leur quotidien, ce qui n’avait alors pas manqué d’être vivement critiqué. "Il y avait des rumeurs, des rumeurs de caniveaux", avait-elle ensuite fait valoir pour expliquer ce besoin de présenter leur couple dans la presse.
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"Un peu homme, un peu femme"
Une "bêtise" selon Brigitte Macron, et le résultat d’un travail de sape pour son mari. En effet, et ainsi que le révèle L’Express, l’ex-ministre aurait en tête que Nicolas Sarkozy est à la manœuvre. Selon lui, toutes les rumeurs qui circulent sur sa vie privée depuis plusieurs mois dans le tout-Paris seraient lancées par le patron des Républicains et son entourage. Toujours d’après le magazine, sûr de lui, Emmanuel Macron aurait même confronté Nicolas Sarkozy. Mais ce dernier "a nié, sans convaincre", tenant même des "propos ambigus".
"Un peu homme, un peu femme, c’est la mode du moment. Androgyne", aurait un jour lâché l’ancien président à propos de l’ex-patron de Bercy, rappelle Closer qui cite un article du Point.