Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Le quotidien Le Parisien a révélé samedi matin une note confidentielle, rédigée par les services de renseignement et la Direction centrale de la sécurité publique (DCSP), s'inquiétant des risques et menaces qui entourent le scrutin prévu ce dimanche.
"En tête de liste figure 'la menace djihadiste', décrite comme 'constante et prégnante'. Ainsi, des mesures spécifiques de sécurisation autour des bureaux de vote, considérés comme des lieux particulièrement sensibles, vont être déployées", explique le journal.
Pour éviter au maximum les risques, des mesures sont en effet envisagées : "présence policière dès l'ouverte des bureaux de vote (…) prises de contact avec les présidents des bureaux de vote, présence d'effectifs équipés lors des scrutins et jusqu'à la fin des dépouillements"...
Des rassemblements qui inquiètent
Mais la menace terroriste n'est pas la seule à inquiéter les autorités. Des rassemblements pourraient également avoir lieu dans les grandes villes et dans des quartiers sensibles, mais aussi en province à l'initiative de certaines catégories professionnelles ou de lycéens.
Une inquiétude qui serait renforcée en fonction des résultats du premier tour. "Toutes les Directions départementales de la sécurité publique (DDSP), sans exception, ont fait part de leurs craintes de troubles à l'ordre public en cas de présence de partis politiques dits extrémistes au second tour de la présidentielle", explique la note révélée par Le Parisien.
La journée s'annonce sous haute-tension pour les forces de l'ordre.