PHOTOS Emmanuel Macron a choisi sa nouvelle voiture présidentielle !©AFPAFP
Lors de la journée de passation, le président a présenté la voiture avec lequel il devrait rouler pendant son mandat. Il s'agit d'un nouveau modèle pas encore commercialisé.

Un peu de changement dans le parc automobile de l'Elysée. Dimanche, après la passation de pouvoir, le nouveau président a descendu les Champs-Elysées à bord du nouveau véhicule présidentiel. Son choix s’est porté sur une Citroën DS7 Crossback couleur bleu encre, un SUV haut de gamme avec toit ouvrant. C’est en exclusivité qu’Emmanuel Macron a pu obtenir cette voiture puisqu'elle ne sera commercialisée qu'à partir de janvier 2018.

D’après LCI, le modèle a été fabriqué dans les usines de Mulhouse dans le Haut-Rhin. Il a subi quelques modifications pour être transformé en véhicule d’apparat présidentiel, rapporte Le Monde. Sur le toit, une capote en toile à ouverture électrique ainsi qu’une barre de maintien à l’intérieur ont été installées afin de permettre à Emmanuel Macron de se tenir debout et de saluer la foule. Le véhicule a également été blindé pour respecter les normes de sécurité. De même, le logo DS, fixé à l'avant, est bleu, blanc et rouge.

Citroën, la marque préférée des présidents de la Ve République

Emmanuel Macron n’est pas le premier président à rouler en Citroën. Avant lui, Charles de Gaulle, Georges Pompidou et Jacques Chirac avaient choisi la marque française pour leurs déplacements. François Hollande avait, lui aussi, fait le choix d’un Citroën DS en 2012. C’est d’ailleurs dans sa DS5 Hybrid 4 qu’il a quitté l’Élysée dimanche après la passation, rapporte L’Express.

Vidéo du jour

Cette DS 7 n’est cependant pas la seule voiture qu’a empruntée Emmanuel Macron dimanche. C’est dans une Renault Espace, modèle avec lequel il a roulé pendant sa campagne, qu’il est arrivé dans la matinée à l’Elysée, selon Le Monde. Avant de descendre les Champs-Elysées dans son véhicule d’apparat, le nouveau président avait décidé de remonter la célèbre avenue parisienne à bord d’un véhicule militaire (un VLRA). Un choix qui le distingue de ses prédécesseurs puisque tous avaient opté jusqu’ici pour des véhicules civils.