La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Lors du conseil national du Parti socialiste ce samedi 14 juin, Manuel Valls a prononcé le discours de clôture sur un ton plutôt dramatique, en mettant en garde contre "le risque de voir Marine Le Pen au second tour de l'élection présidentielle de 2017". "Notre pays peut se défaire et se donner à Marine Le Pen".
Le Premier ministre a jouté que la France pourrait entrer dans "une ère dans laquelle un des grands partis républicains et cette fois sans que cela soit une surprise... peut être absent de ce grand rendez-vous électoral".
"Si rien n'est fait, la gauche peut disparaître"Il indique son inquiétude et déclare que "si rien n'est fait, ce peut être la droite, ce peut être nous, par conséquent une ère dans laquelle la gauche peut aussi disparaître". Insistant sur le fait que "oui, la gauche peut mourir".
Il a cherché à analyser la situation : "nous sentons bien que nous sommes arrivés au bout de quelque chose, au bout peut-être même d'un cycle historique pour notre parti". Terminant par avouer que "la gauche n'a jamais été aussi faible dans l'histoire de la Ve République".
"La gauche doit être capable de se dépasser"Ce discours visait surtout à rassembler tout le parti derrière le président alors qu'une vague frontiste sévit à l'Assemblée nationale. "La gauche doit être capable de se dépasser", et "se réinventer dans un contexte particulier : l'exercice du pouvoir, faute de ne l'avoir pas fait dans l'opposition".
Le Premier ministre a tout de même ajouté une touche plus positive en déclarant que "nous avons encore trois ans pour nous. Trois ans pour réussir et pour continuer à gouverner. Autour du président de la République, autour de François Hollande".