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L’ancien président Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron ont déjeuné ensemble jeudi dernier, le 23 novembre. Un déjeuner donné à l’occasion des 40 ans du Groupe de Sécurité de la présidence de la République (GSPR), rendant ainsi honneur à tous les membres du personnel en charge de la sécurité des présidents Français et leurs familles 24h sur 24h. Ces derniers sont d’ailleurs qualifiés d’”anges gardiens” par Emmanuel Macron en personne. Ainsi, à ce même événement on pouvait également retrouver des membres de la gendarmerie Nationale où encore de la préfecture de police. Mais parmi les invités présents, l’un d’entre eux a retenu une grande partie de l’attention, Nicolas Sarkozy. On apprend également que François Hollande était aussi sur la liste, sans pour autant répondre présent indiqueLa Tribune. Restaient alors les deux présidents qui avaient déjà pu évoquer de nombreux sujets le 24 septembre dernier à Lanterne, date de leur dernier repas.
Nicolas Sarkozy a privilégié Macron à Bruno Le Maire
Ce même jeudi 23 novembre, Nicolas Sarkozy était convié à un autre repas, cette fois-ci avec le ministre de l’Economie Bruno Le Maire. Mais recevant dans le même temps l’invitation d’Emmanuel Macron, le dîner avec Bruno Le Maire sera finalement partie remise. Mais alors, quels étaient les sujets de discussion autour de la table entre Sarkozy et Macron ? Voici ce que l’on sait. Au programme de leur discussion, les tensions entre le Hamas et Israël, actualité géopolitique au centre des préoccupations depuis le 07 octobre, date correspondant à l’attaque du Hamas. Pour rappel, l'ex président avait reçu le 08 novembre dernier la maman et le frère de Mia, qui fait partie des otages franco-israéliens détenue par le Hamas. Nicolas Sarkozy avait d’ailleurs dénoncé le silence vis-à-vis des otages : “ce qui condamne les otages, c’est le silence”. Au-delà du contexte compliqué à l’international, les deux hommes politiques Français ont probablement évoqué le potentiel remaniement du gouvernement envisagé au début de l'année 2024. Mais ce dîner était également à la veille d'une date iimportante pour Nicolas Sarkozy... Le dîner a eu lieu à la veille de la continuité de l'affaire Bygmalion. Pour rappel, l’ancien président a été condamné pour avoir dépassé le plafond légal de dépenses (43 millions atteints contre 22,5 millions autorisés) pour sa campagne de 2012 et a fait appel. En première instance, un an de prison ferme a été retenu contre lui. Ce dernier a toujours clamé son innocence dans cette affaire, et c’est ce qu’il a de nouveau confirmé ce vendredi 24 novembre en début d’interrogatoire devant la cour d’appel : “Je conteste vigoureusement toute responsabilité pénale, parce que je conteste, et j’espère le démontrer, avoir jamais eu connaissance d’une fraude, avoir jamais demandé une fraude ou avoir même bénéficié d’une fraude". Le procès Bygmalion continu, et les repas avec Emmanuel Macron également. Des politiques intérieures et internationales en discussion
Un diner la veille du procès en appel de Bygmalion