Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Après le premier tour des législatives du dimanche 30 juin, environ 310 triangulaires et quelques quadrangulaires étaient possibles. “Ceux qui ont des affinités politiques se sont mobilisés autour de leurs camps dans des proportions similaires”, souligne Adélaïde Zulfikarpasic, experte en études et sondages d’opinion chez BVA, dans les colonnes de Libération.
“L’offre politique était tellement réduite cette fois-ci qu’il y a très peu de réserves de voix. Toutes les forces étaient présentes”, indique Martial Foucault, l’ancien directeur du Cevipof.
Plus de 200 désistements
Selon les règles électorales, tout candidat ayant obtenu plus de 12,5 % des électeurs inscrits, peut se qualifier pour le second tour.
Coup de théâtre, 216 candidats ont choisi de se retirer, dans le but d'empêcher une victoire du Rassemblement national dans leurs circonscriptions respectives pendant le second tour.
Parmi ces candidats, on compte environ 130 issus du Nouveau Front populaire et 81 de la coalition présidentielle Ensemble, selon un communiqué de Renaissance.
Ce mardi 2 juillet, les candidats qualifiés pour le second tour des législatives avaient jusqu'à 18 heures pour déposer officiellement leur candidature en préfecture. Au total, sur les 501 circonscriptions encore en jeu après le premier tour, où 76 députés ont déjà été élus, il reste donc un peu plus de 90 triangulaires, la plupart dans des circonscriptions où le Rassemblement national n'est pas en position de force pour le second tour.
Découvrez les triangulaires au sein de notre diaporama ci-dessous.