Parmi les 51 hommes accusés d’avoir violé Gisèle Pelicot, Christian L., un pompier professionnel, est également jugé pour détention d’images pédopornographiques. Sa compagne a été entendue comme témoin...
- 1 - Nicolas Sarkozy (ancien président de la République)
- 2 - Christian Estrosi (président de la région Paca)
- 3 - Alain Delon (acteur)
- 4 - Vladimir Poutine (président de la Fédération de Russie)
- 5 - Nathalie Kosciusko-Morizet (députée de l’Essonne)
- 6 - Jean-Pierre Raffarin (sénateur, ancien Premier ministre)
- 7 - Jean-François Copé (député de Seine-et-Marne)
- 8 - Bruno Le Maire (député de l'Eure)
- 9 - Carl Lang (député européen et ancien secrétaire national du Front national)
- 10 - François Bayrou (président du MoDem)
- 11 - Rachida Dati (députée européenne)
- 12 - Claude Chirac (conseillère en communication)
- 13 - Pierre Arditi (acteur)
Nicolas Sarkozy (ancien président de la République)
Il soutient François Fillon. L’ancien président de la République s’est montré digne dans son discours dimanche soir après avoir appris son élimination au premier tour de la primaire de la droite. Il a appelé ses électeurs à voter pour son ancien Premier ministre.
Christian Estrosi (président de la région Paca)
Proche de Nicolas Sarkozy, Christian Estrosi a naturellement apporté son soutien à François Fillon. L’ancien maire de Nice a indiqué au Point : "N'oublions pas que l'essentiel se jouera au mois d'avril. Mais, allez, disons que j'ai une petite sensibilité qui penche vers François Fillon...".
Alain Delon (acteur)
Après avoir longtemps hésité à voter Front national, Alain Delon a finalement choisi Alain Juppé. Comme l’annonçait Le Point, l’acteur légendaire de 81 ans était l’invité surprise du meeting du maire de Bordeaux.
Vladimir Poutine (président de la Fédération de Russie)
L’une des personnalités les plus influentes du monde apporte son soutient à François Fillon. C’est assez logique, puisque le candidat à l’élection présidentielle française a déclaré vouloir se rapprocher de Vladimir Poutine et de la Russie.
Nathalie Kosciusko-Morizet (députée de l’Essonne)
Arrivée quatrième au premier tour de la primaire (2,6% des voix), Nathalie Kosciusko-Morizet a annoncé son soutient à Alain Juppé. Pour rappel, la députée de l’Essonne avait perdu la bataille pour la mairie de Paris face à Anne Hidalgo en 2014.
Jean-Pierre Raffarin (sénateur, ancien Premier ministre)
L’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin avait assuré que la finale de la droite opposerait Nicolas Sarkozy à Alain Juppé. Si le sénateur de 68 ans s’est trompé, il reste allié à Alain Juppé, car il estime que le projet de François Fillon s’avère "irréaliste".
Jean-François Copé (député de Seine-et-Marne)
Malgré son score très faible au premier tour de la primaire de la droite (0,3%, 12 750 voix), Jean-François Copé souhaite peser malgré tout au second tour. L'ancien ministre de l'Intérieur invite ses électeurs à voter Alain Juppé.
Bruno Le Maire (député de l'Eure)
Très décevant au premier tour de la primaire (2,4%), Bruno Le Maire a immédiatement annoncé son soutien à François Fillon. Un soutien non dénué d'arrières-pensées. "Nous avons des élus, 35 parlementaires. Il faut sauver leurs investitures ! C'est Fillon qui les leur donnera. Donc je soutiens Fillon. […] C'est moi le candidat, c'est moi qui décide", a-t-il lâché, selon le Canard Enchainé.
Avant les résultats du premier tour, Bruno Le Maire avait pourtant assuré, sur Europe 1, qu'il ne se rallierait à personne...
Carl Lang (député européen et ancien secrétaire national du Front national)
Pour beaucoup d’experts, la dynamique François Fillon est un coup dur pour le Front national. Certains anciens cadres du parti ont annoncé leur soutien au candidat des Républicains. C’est le cas de Carl Lang, ancien secrétaire national du Front national, qui estime que les ides de François Fillon sur le plan international "peuvent sembler aller dans le bon sens".
François Bayrou (président du MoDem)
Depuis le début, François Bayrou est allié à Alain Juppé. Le président du MoDem a indiqué à l’agence Reuteurs que le programme de François Fillon est "dangereux". Néanmoins, en cas de défaite du maire de Bordeaux, Bayrou pourrait se présenter à l’élection présidentielle, comme il l’avait fait en 2002, 2007 et 2012.
Rachida Dati (députée européenne)
En 2012, Rachida Dati avait qualifié François Fillon d’"ingrat", "déloyal" et "mal élevé". Pourtant, quatre ans plus tard, l’ancienne garde des Sceaux a apporté son soutien au candidat du parti Les Républicains.
Claude Chirac (conseillère en communication)
La fille de Jacques Chirac est du côté d’Alain Juppé pour la présidentielle. Claude Chirac voit, dans le maire de Bordeaux, des ressemblances avec les idées de son père.
Pierre Arditi (acteur)
Si Pierre Arditi n’a pas officiellement apporté son soutien à Alain Juppé, il a néanmoins reconnu, sur LCI, avoir été séduit par la performance du maire de Bordeaux lors de son passage dans l’émission Des paroles et des actes sur France 2 en 2014.