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Réduire le déficit, et vite. Face à un déficit public qui devrait s’élever à 5,5% du Produit intérieur brut (PIB), soit 154 milliards d’euros selon l’évaluation de l’Insee, au lieu du chiffre de 4,9% initialement prévu, le gouvernement est sous pression.
Objectif : moins de 3%
Suite à ces annonces, le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Lemaire a assuré qu’il était « déterminé » à repasser sous la barre des 3% d’ici 2027. Plusieurs pistes sont envisagées pour tenter d’y parvenir.
La pression se révèle d’autant plus forte que la France se trouve dans la ligne de mire des agences de notation, qui donnent le « ton » aux marchés. La note de la France risque en effet de se voir dégradée, ce qui rendrait son endettement encore plus coûteux. Ainsi l’agence Moody’s a estimé « peu vraisemblable » la perspective de réduire le déficit public à 2,7% du PIB d’ici 2027, comme le rapporte l’agence Reuters citée par les Échos.
Le casse-tête de la fiscalité
Cette information rappelle combien il peut être compliqué pour un gouvernement de trouver des sources de revenus. Aussi, sur un plan bien plus léger, c’est l’occasion de se pencher (voir le diaporama ci-dessous) sur ces taxes et impôts aussi farfelus qu’improbables qui ont existé dans l’histoire ou existent encore dans le monde.
Cependant, point n’est besoin de trop s’inquiéter à voir revenir certaines d’entre elles : si les recommandations de la Cour des comptes sont suivies, l’heure serait plutôt à la suppression des « taxes à faible rendement ».